Faisons en sorte de ne pas mélanger les citations drôles et les réplique de film
je commence

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Deux extrait de réplique du fimm culte Usual Suspect:

Verbal : Le coup le plus rusé que le diable ait jamais réussi, ça a été de faire croire à tout le monde qu'il n'existait pas... Mais y’a une histoire qu’on m’a raconté, une histoire que moi je crois, qui c’est passé quand il était en Turquie. Y'avait une bande de Hongrois qui voulaient leur propre organisation... Ils avaient pigé que pour prendre le pouvoir, y'avait pas besoin de flingues, ni de pognon, ni d'être nombreux, il suffit d'la volonté d'oser faire ce que les gars d'en face n'oseront pas. Au bout d'un moment, ayant un peu établi leur réseau, ils s'en sont pris à Soze, lui débutait à l'époque, il trafiquait de la Dope à Ankara .Les Hongrois ont débarqué dans sa baraque, un après-midi, pour lui piquer son territoire, ils n'ont trouvé que sa femme et ses gosses à la maison, ils ont décidé de l'attendre... En rentrant chez lui, Soze découvre sa femme violée et ses enfants hurlant de peur, les Hongrois savaient que c'était un dur, qu'il fallait pas rigolé avec lui, ils lui ont montré qu'ils étaient pas là pour plaisanter, ils lui ont dit qu'ils voulaient son territoire et tout son business. Soze a regardé lentement les visages des membres de sa famille, ensuite il a montré à ces hommes volontaires, ce que c'été la véritable volonté. Il leur a dit qu'il préféré voir toute sa famille morte à ses pieds, plutôt qu'de céder à leur chantage, il a laissé repartir le dernier Hongrois. Il a attendu que sa femme et ses enfants soient enterrés, alors il s'est occupé du reste de la bande, il a buté leurs mômes, il a buté leurs femmes, il a buté leurs parents et les amis de leurs parents, il a foutu le feu à leurs baraques et aux magasins où ils bossaient, il a buté les mecs qui leur devait du fric... Et là dessus... Il s'est envolé.


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Verbal : Keaton répétait tout le temps : "Je n'crois pas en dieu, mais j'avoue qu'il me fait peur". Oui, eh bien moi je crois en dieu, et la seule chose dont j'ai peur, c'est Keyser Soze...


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Verbal : Entre nous franchement Kujan, si je vous avais raconté que le monstre du Loch Ness m'avait mis sur un coup, quelle tête vous auriez fait ?

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Verbal [Montrant sa main handicapée] : Comment tu tues le diable ? D'une balle dans le dos ? Hein ? Si tu le rates il se passe quoi ?

"Chéris, sa va couper"

"-vous êtes malade en voiture?
-non, c'est que quand je suis content je vomi.. Et la j'suis hyper content!"

"-C'est émile le tueur, il c'est fais choppé par la tapette géante
-monsieur n'est pas une tapette, il est commissaire de police"


La cité de la peur

Je pensais que c'était inutile pour ce superbe film =P mais allez soyons fous je le rajoute

- " Ecoute Didier, je ne veux pas vivre avec quelqu’un, tu comprends. Ni toi, ni personne, je ne veux pas. Je veux vivre seule, seule, seule tu comprends. Je veux pouvoir péter dans mes draps tranquille, rentrer à n’importe quelle heure, bouffer sur un coin de table, inviter des copains, faire le ménage seulement une fois par an si ça m’chante, j’veux dépenser mon fric à ma façon, j’veux..

- Tout ça tu pourras très bien le faire. Je vois pas où est le problème.

- Le problème, c’est que je ne veux pas d’un mec qui est affalé sur mon canapé, qui bâille en disant "qu’est-ce qu’y a à bouffer ce soir !", je n’veux pas qu’on me dise "tiens, toi qui repasse si bien les chemises !", je n’veux pas acheter la nouvelle BMW qui est fabuleuse et on paiera les traites ensemble, je n’veux pas que ta mère me téléphone pour savoir si je t’ai bien donné tes cachets contre la grippe, je n’veux pas de tes chaussettes sales dans mon panier à linge; je n’veux pas nettoyer la cuisine pendant trois heures le jour où t’auras décidé d’faire une paella pour tes collègues du bureau, je ne veux pas te demander si t’es d’accord de regarder le film au lieu du sport, je ne veux pas, je ne VEUX PAS ! Ta vie c’est ta vie, ma vie c’est ma vie !"

La crise.

"_j'ai glissé chef"

la 7ieme compagnie

Quelques répliques du film "Pirates des Caraibes, jusqu'au bout du monde" :

Jack Sparrow- Le traitre n'est surement pas parmi nous.

Elysabeth Swann- ...Ou est Will?

Jack- Pas parmi nous.

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Jack Sparrow- Tiens, tu peux jeter mon chapeau si tu veux.

Inconnu- Oh merci capitaine!(Il jette le chapeau)

Jack- Bon maintenant va me le chercher...

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Jack Sparrow- J'organise une magnifique réception et vous n'êtes pas invités!

Mon nom est personne :

Personne: Le seul moyen d’allonger la vie, c’est d’essayer de ne pas la raccourcir.

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Personne: On rencontre quelques fois son destin sur la route qu’on a pris pour l’éviter.


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Jack - Ce que je ne vois pas encore dans tout ça c’est, qu’est ce que cela peut bien te foutre ?
Personne - Un homme, un vrai doit croire en quelque chose.
Jack- Dans ma vie j’ai rencontré toute sorte de gens : escrocs, assassins,
prêtres plus ou moins défroqués, putains, macros, receleurs, même
parfois quelques types réguliers. Mais un homme qui soit un homme,
jamais.
Personne- C’est de ceux la dont je parle on ne les rencontre jamais, mais ce sont les seuls valables.

Fight Club :

" Mets-moi un flingue sur la tempe et décore les murs avec ma cervelle "

vous n'êtes pas votre travail, vous n'êtes pas votre voiture ni votre putain de treillis, vous êtes la merde de ce monde prête a servir a tout (Tyler Durden)

Au bout d'un certain temps l'espérance de vie tombe pour tout le monde a zéro (Jack)

s'améliorer soi-même c'est de la masturbation (Tyler Durden)

on a pas de grandes guerres, pas de grandes dépression, nos grandes guerres sont spirituels, nos grandes dépressions c'est nos vies (Tyler Durden)

Nous sommes une génération d'hommes élevés par des femmes, je ne suis pas certain qu'une autre femme soit vraiment la solution à nos problèmes (Tyler Durden)

-Tu travailles la nuit parceque tu as des insomnies ou bien tu fais du savon quand tu t'emmerdes!
-Et Marla c'est toi qui la baises Tyler!
-Heuuu...Techniquement c'est toi qui baise Marla mais c'est pareil pour elle...

Les objets qu'on possède finissent par nous posséder.
C'est quand on a tout perdu qu'on est libre de faire ce que l'on veut (Tyler Durden)

quand l'exploration intersidérale prendra de l'ampleur, ce sont les multinationales qui mèneront tout : la galaxie Microsoft, la sphère IBM, la planète au café starbucks..." (Jack)

vous n' êtes pas un petit flocon de neige merveilleux et unique, vous êtes tous fais de la même matière organique pourrissante (Tyler Durden)

Ecoute-moi. Tu dois admettre qu'il est possible que Dieu ne t'aime pas du tout ! Il ne t'a jamais voulu. En toute probabilité il te déteste

J'avais envie de tout remplir d'une fumée bien noire.. J'avais envie de mettre une balle entre les yeux de tous les pandas qui n'étaient pas foutus de baiser pour sauver leur espèce!.." (jack)

Il y a un adage qui dit que l'on fait toujours du mal à ceux qu'on aime, mais il oublie de dire que l'on aime ceux qui nous font du mal (Jack)

"Il n'y a rien à chasser, à tuer, plus rien à combattre, à explorer où à surpasser dans notre société. Fight Club dénonce l'émasculation des hommes que nous sommes. Nous sommes prédestinés à devenir des prédateurs alors que nous vivons dans une société de pure consommation" > David Fincher, réalisateur de Fight Club

"Aujourd'hui, les gens ne savent plus qui ils sont. Il est donc logique, finalement que certains trouvent la représentation d'eux-mêmes dans les meubles, les bibelots et tous les trucs qu'ils achètent. Quelle misère ! Faute d'esprit et d'identité, c'est une quête sans fin du nouveau produit" > Brad Pitt <

Attention certaine réplique sont interdit à un certain age ^^ lol


Replique interdit aux moins de 18 ans ..

Spoiler:

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Brad [en lisant le papier de Lester] : "Mon travail consiste en priorité à masquer le mépris que j'éprouve pour les trous duc' de la direction; et au moins une fois dans la journée à m'enfermer dans les chiottes pour me faire dégorger le poireau, tout en fantasmant sur une vie qui ressemble à l'enfer..."

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Interdit aux moins de 16 ans ^^

Spoiler:

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[Carolyn et Buddy en voiture sont en train de se bécotter quand ils passent une commande au drive-in où Lester travaille.]

Carolyn : Buddy voici mon…
Lester : Son mari. On s’est déjà rencontrés mais bien que vous ayez du mal à me remettre je pense que vous n’êtes pas prêt de m’oublier cette fois.
La chef : Alors là vous êtes dans la merde.
Carolyn : On vous a pas demandé votre avis sur la question.
Lester : Il s’avère que Janine est mon supérieur direct donc tout se qui se passe au drive la concerne. Bon ça explique tout.
Carolyn : Oh Lester je…
Lester : Chérie, c’est rien, je veux que tu sois épanouie, et un sourire de mayonnaise avec ça ?
Carolyn : Cesse de jouer cette comédie !
Lester : Non surtout ne viens plus jamais me dire ce que je dois faire, c’est moi qui décide.

* * * * * * *

Lester [voix off] : J'avais toujours entendu dire qu'à l'instant de votre mort, votre vie entière se déroule devant vos yeux en une fraction de seconde. Tout d'abord cet instant dure beaucoup plus longtemps qu'une Mort de Lester fraction de seconde, il s'étend jusqu'à l'infini comme un océan de temps. Pour moi, c'était d'être allongé dans l'herbe en été pendant les vacances à regarder les étoiles filantes et les feuilles des arbres qui bordaient notre allée, tourbillonner dans le vent d'automne où les mains de ma grand-mère et cette peau sèche et ridée comme du parchemin et la première fois que mon cousin Tony est venu chez nous dans sa superbe firebird... et Jenny... et Jenny... et Carolyn... Bien sûr je pourrais être aigri de ce qui m'est arrivé mais c'est inutile. Il y a tant de beauté dans le monde. Parfois j'ai l'impression qu'elle me submerge de partout en même temps et ça en est trop. Mon coeur se remplit comme un ballon prêt à exploser et là, je comprends qu'il faut que je lâche prise, que j'arrête d'essayer sans cesse de m'y raccrocher et ça glisse sur moi comme de la pluie et je ne peux plus rien éprouver d'autre que de la gratitude pour chaque instant de mon insignifiante petite vie. Vous ne comprenez pas ce que je suis en train de vous dire n'est-ce pas ? Ne vous en faites pas un jour, vous comprendrez...


American Beauty.. un film qui fait partit de ma videotheque et parce que ce film est culte, ile devait être ici..

L'inspecteur Harry :

Harry à un bandit:

« Hin hin ! Je sais ce que tu penses : "C'est six
fois qu'il a tiré ou c'est cinq seulement ?". Si tu veux savoir, dans
tout ce bordel j'ai pas très bien compté non plus. Mais c'est un 44
Magnum, le plus puissant soufflant qu'il y ait au monde, un calibre à
vous arracher toute la cervelle. Tu dois te poser qu'une question :
"Est-ce que je tente ma chance ?" Vas-y, tu la tentes ou pas ? ».

"Qui
a dit ça ? Qui est le tordu qui a dit ça ? Qui est l’infect petit poil
perdu, l’espèce d’enculé de communiste qui vient de signer son arrêt de
mort ? … C’est personne hein ? C’est votre marraine de mes couilles,
hey ? Ah foutre de foutre, vous me ferez du parcours à en crever la
gueule ouverte !! Vous me ferez du parcours à en téter du p’tit lait
par le fion…"

Je vous laisse chercher ce que c'est, mais c'est simple

Marmite a écrit:

"Qui
a dit ça ? Qui est le tordu qui a dit ça ? Qui est l’infect petit poil
perdu, l’espèce d’enculé de communiste qui vient de signer son arrêt de
mort ? … C’est personne hein ? C’est votre marraine de mes couilles,
hey ? Ah foutre de foutre, vous me ferez du parcours à en crever la
gueule ouverte !! Vous me ferez du parcours à en téter du p’tit lait
par le fion…"

Je vous laisse chercher ce que c'est, mais c'est simple

Argh merde je savais ce que c'etait ça, un truc sur l'armée ou quelquechose comme ça mais je sais plus quoi

Sergent Hartman de Full metal jacket?

C'est le sergent au camp d'entrainement dans Full Metal Jacket, je me souviens qu'il avait dit ça à Baleine.

C'est pas quand l'autre dit : Est-ce que c'est toi John Wayne, ou est-ce que c'est moi?

Ah voila, c'était dans Full Metal Jacket bordel!XD

Repliques venant du film de Louis de Funès, les aventures de Rabbi Jacob :

De Funès- Vous avez vu Salomon?Ils ont de voitures maintenant, hé hé hé, ils ont des Rolls blanches les noirs.

Salomon- En tout cas, ce n'est pas à Monsieur que ça risquerait d'arriver...

De Funès- Quoi donc?

Salomon- Que Mademoiselle épouse un noir!

De Funès- Qu'est-ce que ça veut dire ça?!

Salomon- Que Monsieur est peut-être un peu rasciste!

De Funès- Rasciste, moi rasciste?Salomon, rasciste...Enfin Dieu merci, Antoinette épouse un français bien blanc...Bien blanc, il est même un petit peu pâlot vous trouvez pas?Avec ses petits boutons...

Salomon- ...Et son cheveu sur la langue!

De Funès- Il à un cheveu sur la langue mais il est riche, riche comme moi et catholique comme tout le monde!

Salomon- Pas comme tout le monde, parce quue moi par exemple, je suis juif.

De Funès- Vous êtes juif?Comment?Vous êtes juif?!Salomon est juif!Oh!

Salomon- Et mon oncle Jacob qui arrive de New-York, il est Rabbin.

De Funès- Mais il est pas juif?

Salomon- Bah si.

De Funès- Mais pas toute votre famille quand même?!

Salomon- Si!

De Funès- ...Bon écoutez, ça fait rien, je vous garde quand même.

MDR
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Louis de Funès et je sais plus qui se font controler leurs papiers du véhicule par des policiers :

Flic- C'est de moi ou de mon collègue que vous vous foutez?

De Funès- Ah mais des deux!Je me fous des deux!

MDR

La dernière cible ( inspecteur harry 4 quoi )

Harry à son lieutenant : Vous savez les avis c'est comme les trous du cul, tout le monde en a un.


Idem : Vous avez des enfants lieutenant?
Lieutenant : Non.
Harry: Tant mieux pour eux.

Répliques du film "La folie des grandeurs", avec Louis de Funès dans le rôle de Don Salluste et Yves Montand dans le rôle de Blaze :

Blaze- C'est pour le Roi?

Don Salluste- Non c'est pour Salluste.

Blaze- Voleur!

Don Salluste- Mais non pas voleur rooh, c'est pour Salluste!

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Don Salluste(aux villageois)- Cette année la récolte a été très mauvaise, alors l faut payer le double! ( A Blaze)- C'est normal, les pauvres c'est fait pour être très pauvre et les riches pour être très riches!

(Grands cris de rage des villageois)

Don Salluste- Qu'est-ce qu'il se passe?

Blaze- C'est les villageois Monseigneur, ils vous acclament...

Don Salluste- Ah bon?...J'aurais du leur en demander le triple.

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Don Salluste- C'est une menteuse!Elle ment en Allemand!Cet enfant est un faux témoin!Warum mich?Ich habe nicht!Elle et moi nada nada jamais rien!Majésté!Das ist eine colossale Konspiration!

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Don Salluste- Mais qu'est-ce que je vais devenir?Je suis ministre, je ne sais rien faire!

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Don Salluste- Il suffit que le Roi ait un accident de chasse,là, paf!Là!Le gros cousin Léopold, paf paf!Le petit Duc D'Anjou, tout le monde là, pleins d'accidents de chasse!Papapapapapapapapaf!...Et me voilà Roi!

Les aventures de Jack Burton dans les griffes du mandarin




Jack Burton : Vous passiez dans le quartier, par hasard, en cette belle nuit de tempête... C'est ça ?


Wang : Un mec malin reviendrait demain.
Jack Burton : Un mec malin appellerait les flics !
Wang : Les flics ont mieux à faire que de s’faire descendre !
Jack Burton : Ah oui ?! Et moi alors ?!


Oncle chu : C’est un médium doué de pouvoirs surnaturels et il est immortel. Sa chair et ses os ont été atomisés, et il se métamorphose en rêve.
Jack Burton : Quoi...
Wang : C’est très exagéré, Jack, je te le jure !


Jack Burton : Il doit bien y avoir trois mètres d’épaisseur. Je te parie qu’ils ont dû souder tous les murs de l’extérieur et les recouvrir de briques.
Wang : Te décourage pas, Jack
Jack Burton : Qu’est-ce que tu veux qu’on fasse ? Qu’on grignote les murs avec les dents ?



Jack Burton : Pas de panique, je suis là. On est presque au bout de nos peines : derrière ces portes, l’environnement redevient normal ; des bureaux, des entrepôts, en fait une façade. Je compte jusqu’à trois, j’ouvre cette porte et on va tous sortir d’ici. Prêt ? Suivez le guide, un, deux, trois. [Il ouvre la porte, voit une armée de gangsters, et referme la porte vite fait] C’est peut-être pas le bon chemin.


Jack Burton : Qu’est ce qu’il y a dans la fiole, Egg ? Une potion magique ?
Egg : Oui.
Jack Burton : J’m’en doutais. Qu’est-ce qu’on fait ? On la boit ?
Egg : Oui.
Jack Burton : J’m'en doutais aussi...


Gracie : T’as un flingue sur toi, au moins.
Jack Burton : J’ai une lame...
Gracie : Une lame ? Mais ce gars fait au moins trois mètres de haut !
Jack Burton : Deux mètres cinquante. T’inquiète pas, je ferai le poids, je me suis dopé. Je vois des choses que personne ne voit... Pourquoi t’es déguisée comme ça ?


Jack Burton : Tu sais ce que le vieux Jack Burton dit toujours dans ces cas-là ?
Thunder : Qui ?
Jack Burton : Jack Burton ! MOI !